« Mind de gap », comme vous avez dû le lire dans d’autres articles, c’est une petite phrase diffusée dans le métro dans certaines stations de Londres. Il faut dire que le métro londonien, the Underground pour les intimes, a une très forte identité au point qu’il en devient attachant : c’est presque une attraction à lui tout seul au même titre que Big Ben ou que Buckingham Palace. D’ailleurs, cette petite phrase figure même parmi les souvenirs de la ville  que les touristes peuvent se procurer, c’est dire…

« Mind the gap » ça veut dire mot à mot «  attention au pas », c’est une mise en garde par rapport aux trous et décalages éventuels entre la rame de métro et le quai. Ils peuvent en effet être assez importants selon les stations et il faut faire attention pour ne pas tomber.

Une petite phrase qui a une histoire :

D’après mes recherches sur le net, l’utilisation de cette expression dans le métro date de 1968-1969. Avant cela, c’était les agents du métro qui se chargeaient oralement et individuellement de mettre en garde les usagers. Au fur et à mesure que le nombre d’usagers augmentait, il devint vite évident que les agents du métro ne pouvaient plus continuer à faire de la sorte.

C’est en 1968 que le métro de Londres se dote d’un système permettant de diffuser une phrase préenregistrée qui serait diffusée par haut-parleurs dans les stations concernées.

A l’époque, la technologie numérique n’était pas si avancée qu’aujourd’hui et les outils utilisés ne permettaient que l’enregistrement d’une phrase courte : on choisit donc « Mind the gap ».

C’est ainsi que cette petite phrase est devenue le symbole du métro londonien. On peut même trouver sur le net des vidéos et des clips qui la reprennent

Anecdote :

La voix que nous avons entendue sur la Piccadilly Line est en fait celle d’un acteur britannique qui s’appelle Tim Bentinck. Encore un élément qui vient ajouter de la personnalité au métro de Londres…

Mbarka 

Dernière soirée à l'auberge de jeunesse, très tard dans la nuit...

Hocine, présent lors du relooking à la « Bieber » de Maxime, fait une importante découverte concernant le lisseur à cheveux, outil indispensable de la jeune fille en voyage…

« Oh ! C’est chaud ! … »

Mbarka .  

 Récit de notre dernière journée londonienne ...

Dès le matin, nous avions décidé de notre programme, faire le tour de Londres avec le bus touristique. Pour trouver l’arrêt du bus, ça a été toute une aventure : nous avons carrément fait un « retour à l’envoyeur ». Finalement nous sommes arrivés à destination ( ENFIN !! ) et nous avons trouvé le point de départ.

 Tout le monde a réussi à être bien placé, à savoir à l’étage supérieur, c’est-à-dire la partie « décapotable ». Au départ il faisait très beau, pour preuve Mme Le Pennec à sortit sa crème solaire !! D’un coup, avec la chance que nous avons, le soleil a disparu et les nuages ont pris place ! Donc « GOODBYE ! » la crème solaire et « HELLO ! » à la fraicheur du matin !

Au lieu de voir plusieurs statues et monuments…  nous avons aperçu… UN CAMION-BENNE sur notre droite, effluves compris. Dépaysement garanti !

Maltraités par le vent et le froid, nous avons sillonné Londres en long, en large et en travers. Grace à un audio guide, nous avons appris plein de choses à propos de la ville.

Et pour finir, après avoir visité : Big Ben, London Eye, Tower Bridge ; la croisière sur la Tamise… et Piccadilly Circus. En fin d’après-midi, nous étions en retard pour prendre le dernier bus qui devait passer à 18h00,  alors nous avons couru tel des gazeaux (masculin pluriel de gazelle). Comme nous avons rattrapé le bus, nous avons gagné l’épreuve de confort  et nous avons été récompensés par le Burger King ! 

Ci- après, les photos prises par Mme Le Pennec qui a immortalisé ce grand moment : en moins de cinq minutes nous avons  rejoint Trafalgar Square depuis Piccadilly sous le regard étonné des londoniens qui nous voyaient faire sans arrêt des allers retours. L’aller sur le trottoir des maisons paires et le retour sur le trottoir d’en face.  Nous étions tous morts de rire pendant notre course incroyable.

Mention spéciale pour Mme Barbier qui a su devancer le groupe pour aller demander notre route aux agents de police : un vrai travail d'équipe !

Au final, cette journée a été marquée par de nombreux aller-retours et nous avons pas mal tourné autour du pot mais quoiqu’il en soit elle reste gravée dans nos mémoires. Le temps fort de cette journée a été notre véritable course contre la montre pour rattraper notre bus.

Ci-contre : Nous avons réussi, contre toute attente, à avoir notre bus. Epuisés par notre course, nous savourons nos places assises...

By Jessica, Ludivine, Mbarka et Elyse !